8. MEDIAS

Le problème se déroule de manière particulièrement évidente sous nos yeux en ce moment-même.
Les médias ont un pouvoir énorme sur la pensée des personnes qui ne remettent que peu ou pas du tout en question les informations publiées.
Dès l’école, nous apprenons que nous ne serons récompensés que si nous parvenons à reproduire parfaitement ce qui est écrit dans les manuels.
Déjà à l’école, penser par soi-même n’est pas récompensé.
Les médias sont devenus un outil politique puissant.
Dans une « guerre de l’information« , les médias peuvent être utilisés comme arme pour diffuser de manière ciblée des informations partiales et qualifier l’opinion de « l’autre camp » de fausse. Les médias créent ainsi la nouvelle « réalité » apparente de pays entiers, de cultures.
P.S. : Ne croyez pas automatiquement ce que vous avez lu ou lirez ici, mais vérifiez par vous-même et entraînez-vous à écouter l’intelligence de votre cœur.
La liberté de la presse, la liberté d’expression de la diversité des opinions et l’indépendance des journalistes sont à nouveau au cœur de leur mission. Les médias reprennent leur place de « 4eme pouvoir » (aux côtés du pouvoir exécutif, législatif et judiciaire)
Les médias sont invités à être porteurs de solutions positives pour la transformation de notre planète, de rendre compte de projets réussis et des solutions et ainsi d’être des acteurs de la régénération du vivant.
8a.) Les maisons de presse et les journalistes sont financièrement indépendants et libres.
Actuellement, les médias grand public sont encore (en 2022) détenus et gouvernés majoritairement par quelques conglomérats industriels ayant racheté des groupes médias. Ces conglomérats ont des liens étroits avec la politique et l’économie ; or leurs intérêts d’ordre économiques déterminent le contenu. Cette divergence d’intérêts et collusion systémique ont un impact primordial sur le contenu de l’information véhiculée par ces médias qui nous présentent et vendent « leur vérité » sur tout sujet comme étant la seule réalité existante et possible.
Qui plus est, dans de nombreux cas, une grande partie de leur revenus est générée par les publicités des conglomérats qui influencent ainsi encore le contenu des écrits. A noter également la montée en puissance dans les structures capitalistiques des médias, les fondations « philanthropiques ».
Ainsi, les médias ont petit à petit perdu leur indépendance et ne pouvant prendre le risque de perdre ses sources de revenus, s’auto censurent en n’écrivant rien qui puisse contredire et froisser l’agenda de ses bailleurs de fonds.
C’est ainsi qu’un petit groupe de personnes peut réussir à manipuler les pensées et le destin du monde entier.
A l’avenir, les médias seront protégés de la sphère d’influence économique et politique car dans le cas contraire, ils perdent leur objectivité et deviennent des outil de propagande, risque majeur pesant sur une démocratie.
Si les médias reçoivent un quelconque soutien financier du monde économique ou politique, ils doivent révéler par qui ils sont financés et le montant est strictement limité. Cela permet de savoir à qui – quel investisseur, quel financier – le contenu des articles de presse, des émissions de radio ou de télévision est susceptible de servir.
Les journalistes sont libres et ne dépendent pas financièrement ou idéologiquement d’un journal, d’une chaîne ou d’un portail Internet. Ils sont financés par la culture et peuvent travailler pour plusieurs médias à la fois.
8b.) Liberté de la presse, diversité des opinions, journalisme de qualité et reportage indépendant et transparence.
La diversité des opinions, et donc en particulier la publication de voix critiques à l’égard d’un système en place, est extrêmement importante pour prévenir une dictature de l’opinion et pour permettre aux lecteurs et aux téléspectateurs d’avoir un large éventail de perspectives, de faits, de visions et d’expériences sur un sujet donné.
En 2020, une vague de censure mondiale quasi uniforme – sans précédent dans l’histoire de notre civilisation – a débuté dans le monde entier :
Les critiques des mesures imposées par les médias de masse, comme par exemple la politique de lockdown, les tests PCR, les vaccinations de masse, ont été stigmatisées et dénoncées dans les médias de masse, entre autres comme « négationnistes de Corona », « théoriciens du complot » ou « extrémistes de droite ».
Sur les plateformes de médias sociaux fondées par les « Big Tech » (surnommés « GAFAM »), comme Facebook, Twitter et Youtube, des dizaines de milliers de chaînes ou de profils de personnes critiques ont été supprimés, des millions de posts ont été retirés et des milliers de scientifiques ont été dénoncés publiquement. Nombre d’entre eux ont ainsi perdu leur emploi.
Pour ce faire, des algorithmes ont été utilisés pour supprimer automatiquement tout message traitant de certains contenus critiques à l’égard du système en place.
Parallèlement, des plates-formes dites de « fact-checking » ont été créées, elles-mêmes financées par les mêmes organismes que ceux qui financent les médias de masse.
Cela a entraîné une division massive au sein de la société, et même au sein des familles.
S’informer à partir de plus d’une source est devenu le mot d’ordre. La plupart du temps, les différences sur un sujet en disent plus long que les points communs.
« La liberté de la presse décrit le droit des institutions de radiodiffusion, de la presse et d’autres médias à exercer leur activité sans entrave, notamment à publier des informations et des opinions sans censure de la part de l’État. La liberté de la presse ou des médias doit garantir la liberté d’information, la liberté de formation et d’expression des opinions, la diversité pluraliste des opinions et donc la formation démocratique de la volonté ainsi que la transparence et le contrôle de la politique par l’opinion publique ».
La crise du Corona nous a fait prendre conscience que les médias ont le pouvoir d’influencer et de diriger massivement chaque personne individuellement ainsi que l’ensemble de la population. Par conséquent, il ne peut plus y avoir de propagande ou de censure manipulatrice et destructrice unilatérale.
Il est essentiel de s’informer auprès de plusieurs sources, car les différents points de vue sur un sujet en disent généralement plus que les points communs d’articles similaires.
Entendre des opinions différentes et les confronter à notre propre expérience et à nos perceptions forgent notre entendement et peuvent élargir considérablement notre vision du monde.
Les journalistes réapprennent à être conscients et dignes de la responsabilité de former des opinions. La propre opinion est étiquetée comme telle, les « faits » deviennent vérifiables, les sources sont communiquées de manière transparente.
Le journalisme d’investigation est apprécié : des personnes qui entreprennent courageusement et avec curiosité de découvrir des griefs, de faire des recherches approfondies, de voir par elles-mêmes ce qui se passe sur le terrain et, idéalement, de documenter les solutions possibles.
Wikipedia : « La liberté de la presse décrit le droit des institutions de radiodiffusion, de la presse et d’autres médias à exercer leurs activités sans entrave, notamment à publier des nouvelles et des opinions non censurées par l’État. La liberté de la presse ou des médias vise à assurer la liberté d’information, la liberté de former et d’exprimer des opinions, la diversité pluraliste des opinions et donc la formation démocratique de la volonté, ainsi que la transparence et le contrôle de la politique par l’opinion publique. »
8c.) Les médias rendent compte de manière positive du monde qui nous entoure et encourage la population de se responsabiliser
Comme il a souvent été nécessaire, pour la survie de l’humanité, d’accorder plus d’attention aux dangers qu’aux choses agréables de notre quotidien, notre cerveau est programmé pour accorder plus d’importance aux dangers et aux messages porteurs d’informations négatives. Les médias ont rapidement compris que les gros titres négatifs, les informations horribles sur les maladies, les catastrophes, les meurtres, la terreur et les guerres augmentent leur nombre de tirages. Par voie de conséquence le monde et l’humanité sont présentés sous un jour plutôt sombre et s’inscrit sous cette coloration dans notre subconscient à laquelle nous réagissons souvent par un sentiment diffus de peur.
Cette peur est non seulement préjudiciable pour notre système immunitaire, mais en plus nuit à notre capacité à prendre des décisions claires. Le stress induit par la peur peut conduire à un état de panique chronique induisant à la dépression et à des pathologies chroniques.
En tant qu’êtres inconscients et créatifs, nous recréons alors nous-mêmes une réalité sombre à partir de ces programmes négatifs.
Un cycle qui sera désormais brisé par une image positive et salutaire du monde et de l’être humain, véhiculée également par les médias !
Les médias qui ne font pas de reportages sensationnels sur les dangers, les catastrophes, les accidents ou la criminalité, mais qui plutôt parlent d’événements positifs, de projets réussis et de solutions, recevront en priorité le soutien de l’État.
Pendant l’épidémie annuelle de grippe ou les pandémies potentielles, des informations sur le renforcement du système immunitaire, la prévention et la guérison sont communiquées. En outre, l’opinion et les conseils, les mises en garde et les succès thérapeutiques de médecins, virologues, immunologistes, etc. compétents et indépendants seront reçus et débattus.
8d.) Dès l’école, les jeunes sont invités à ne pas croire aveuglement les médias ou les réseaux sociaux, mais à se faire leur propre opinion.
Jusqu’à présent, notre système scolaire a conditionné les jeunes par la récompense de telle sorte qu’ils ressentent un sentiment de reconnaissance et d’intégration dans la communauté lorsqu’ils reproduisent sans résistance et sans erreur, ce qui leur est « prescrit » par le « programme scolaire« . Une attitude critique à l’égard du contenu de ces programmes scolaires est sanctionnée par de mauvaises notes.
Cette attitude a la non remise en question de ce qui est « enseigné » « demandé », « prescrit » est ensuite profondément ancrée dans l’esprit des enfants, futurs citoyens de leurs nations ; plus tard, à l’âge adulte, influencés par les médias, ils seront alors conditionnés pour suivre aveuglement tout type d’ordre sans réaliser toutes les conséquences de leurs actions/décisions ou manque de décisions/actions.
Le changement d’attitude ne se fera qu’au prix d’un effort conscient, pour sortir de cette forme d’hypnose collective.
Les reportages des médias sont toujours remis en question :
Dans quelle perspective et avec quelle intention quelque chose est-il rédigé ?
Que veut ce média que je crois & « cui bono » ? (à qui cela sert-il ? ) si je le crois ?
Que me dit mon bon sens, que me dit l’intelligence de mon cœur ?
Quelle vision du monde cette contribution tente-t-elle d’étayer ? Cette contribution tente-t-elle d’activer des émotions ? Quelles sont les autres publications de l’auteur ? De quelles institutions l’auteur est-il financé ?
8e.) Plateformes de médias sociaux
En principe, les plateformes de médias sociaux peuvent être considérées comme une merveilleuse réalisation qui permet aux personnes de se mettre en réseau dans le monde entier, de rendre leurs talents visibles, d’offrir leurs dons ou de mettre leurs connaissances à la disposition du plus grand nombre.
Mais comme le montre aussi l’exemple bien connu du couteau de cuisine : avec un couteau, on peut tout autant préparer un merveilleux repas que blesser ou tuer des êtres vivants !
Quels sont donc les défis auxquels nous devons faire face intelligemment ?
* Comme nous l’avons déjà mentionné, les exploitants des plateformes de médias sociaux ont pour l’instant encore le pouvoir d’orienter les opinions par des mesures de censure et d’influencer le cours des choses voire le destin de pays entiers.
* De nombreuses plates-formes de médias sociaux ont été créées par les services secrets afin d’obtenir les données des « utilisateurs » sur un plateau d’argent. Ces données sont vendues à des entreprises ou utilisées pour surveiller les citoyens.
* Beaucoup d’enfants sont très tôt littéralement « accros » aux médias sociaux – pour le plaisir ou pour le jeu, que ce soit pour le frisson ressenti lorsqu’ils reçoivent un « like » sur un « post » ou par la peur latente de manquer quelque chose. Combien de fois observons-nous des enfants assis les uns à côté des autres, qui n’ont plus de contact réel, et qui, à la place, communiquent avec leurs téléphones portables ?
* Le cyber-harcèlement est devenu un problème majeur et entraîne chaque année un nombre croissant de suicides d’enfants, d’adolescents et d’adultes.
* Les réseaux pédophiles utilisent les plateformes de médias sociaux, pour aller « à la chasse » et échanger des stratégies.
* Les « influenceurs« , apparaissent encore plus fortement et plus rapidement dans les réseaux sociaux que dans les médias. Ces personnes donnent souvent l’illusion d’une vie « hors sol », superficielle, et pourtant peuvent influencer des millions d’autres personnes. Le problème survient lorsque les gens se comparent à ces influenceurs impactant leur confiance naturelle en eux.
La publication de matériel faisant l’apologie de la violence envers les hommes et les animaux, ainsi que tout appel direct ou indirect à la pédophilie, est interdite sur les plateformes de médias sociaux.
Les plateformes ne doivent pas censurer arbitrairement ou être corrigées par des instances supérieures autres que des institutions indépendantes transparentes.
8f.) Chaque personne a le droit d’évoluer dans son environnement sans être influencée par la publicité.
La publicité est fondamentalement là pour inciter les gens à acheter des choses en simulant artificiellement un manque, en créant des peurs ou des besoins qui n’existaient pas auparavant.
La publicité détourne délibérément notre attention des rencontres, de notre « ici et maintenant » vécu, de l’aventure de la vie, pour nous conduire vers l’illusion d’un leurre ( « ce n’est que lorsque j’aurai cela que je serai heureux »). La publicité veut nous faire croire que nous trouverons l’épanouissement en achetant des biens et services. Or, le véritable épanouissement ne peut venir que de l’intérieur.
La publicité agit directement sur notre subconscient et devient, à force d’être répétée, une partie inconsciente de nous-mêmes et parasite notre pensée.
La publicité dans les lieux publics est supprimée. Il reste des panneaux indicateurs qui mènent à des entreprises locales. Les publicités à la radio, sur les chaînes de télévision seront annoncées et programmées à l’avance afin de permettre aux auditeurs ou aux téléspectateurs de s’y soustraire à temps.
La publicité sur Internet n’est diffusée qu’avec une déclaration de volonté claire et préalable auprès des utilisateurs.